lundi 25 février 2013

Les cyborgs

Tout d’abord définissons le terme cyborg ; ce terme désigne tout être vivant intelligent , humain ou non, ayant subit des greffes d'éléments mécaniques. Il faut savoir que cyborg est un mot anglais résultat de la contraction des mots "cybernetic" et "organism". Cette technologie pourrait donc être très utile pour les personnes handicapées qui pourraient ainsi retrouver leur mobilité et même plus car les éléments cyborg peuvent surpasser les performances d'un membre « normal ». Depuis longtemps cette technologie a sa place dans les séries télévisées et les jeux vidéos, mais nous préférons nous intéresser à l'aide que pourrait procurer ces nouvelles prothèses aux personne atteintes.



Le cyborg repose donc sur de l'organisme avec une machine. Cet machine est en réalité un élément de haute technologie qui remplacerai et surpasserai une zone amputée ou bien déficiente. Comme pour les cas précédents nous allons voir comment fonctionne cette technologie. Contrairement aux prothèses bioniques qui sont reliées à des muscles ou des nerfs, cette technologie relie directement l'élément mécanique au cerveau. On capte directement la pensée de l'utilisateur à la source ; ou plutôt les signaux électriques envoyés par le cerveau puisque c'est lui qui est à l'origine de nos pensées. Pour capter ces ondes on dispose actuellement de deux méthodes :

1ère méthode : C'est la méthode la plus « douce », elle consiste à placer sur le patient un bonnet d’électrodes qui capte les ondes du cerveau, les transmet à un ordinateur qui à son tour les transmet à la machine. Seulement cette méthode présente 2 inconvénients : sa lenteur et sa faible précision. Les chercheurs ont donc songé à une deuxième solution plus radicale que nous allons détailler ci-dessous. 
2ème solution : Cette seconde méthode plus radicale à mon goût vise à implanter directement une puce sur le cerveau du patient. Cette technique est beaucoup plus précise que sa prédécesseur mais peut engendrer de graves infections, ce qui, au niveau du cerveau, engendreraient des dégâts collatéraux.

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