mardi 26 février 2013

Commençons par le commencement..





Bonjour,

Nous sommes fiers de vous présenter le sujet choisi pour nos travaux personnels encadrés. A travers différents textes, vidéos, témoignages ou images nous allons tenter de savoir en quoi et comment l’évolution scientifique a-t-elle facilité et amélioré la vie quotidienne et les performances des personnes atteintes d’un handicap moteur ? Pour cela nous étudierons les améliorations des conditions de vie selon le Handicap, puis nous nous demanderons comment les évolutions technologiques contribuent-elles au bien être d'un handicapé moteur et enfin nous travaillerons sur une partie Handicap et société.  Si il y a quoi que ce soit que vous cherchez à savoir, n'hésitez pas à nous en faire part à travers différents commentaires. Ce travail très enrichissant peut-être bénéfique à tout le monde si l'on s'en donne l'occasion. Naviguez et profitez de notre travail effectué cette année. Nous vous disons bonne visite.  


Léa Grandin, Edith Fouillet et Hugo Fournier. Première S 2. 

Sommaire



Introduction ->   

I Les améliorations des conditions de vie selon le handicap

La recherche médicale :

• L'amputation 
• Huntington 
Sclérose en Plaque
 Parkinson 

Les soins médicaux :

• Les soins apportés aux personnes atteintes d'un handicapeur moteur traumatique :    
Pour la maladie d'Huntington
Pour la maladie de la Sclérose en Plaque
Pour la maladie de Parkinson

II Comment les évolutions technologiques contribuent-elles au bien être d'un handicapé moteur


• Les cyborgs. 
• Les exosquelettes.
• Les prothèses  bioniques. 
• Les prothèses traditionnelles et intelligentes. 

III Handicap et Société


• Les répercussions.  Les aides : 
• L'école. 
• Handicap International.  Autres publicités :  
• APF 
• Handicap sans frontières
• Les aides humanitaires. 
 Le statut de travailleur handicapé. 

Les activités : 
• Le handisport. 
•  Les jeux Paralympiques.
• L'affaire Oscar Pistorius. 
• L'affaire Oscar Pistorius 2. 
• L'affaire Oscar Pistorius 3. 
• C-Leg, ça aide la vie. 
•  L'armée.

Définition de départ..






   Un handicap moteur se caractérise par le fait d'avoir des déficiences motrices. Comme une aptitude limitée pour effectuer des mouvements, à exécuter des taches manuelles ou encore de mouvoir certaines parties du corps.

Handicap moteur généré par un accident.





Il existe de nombreuses raisons pouvant amener un être humain à subir un handicap moteur irrécupérable notamment lors d'accidents de la route, de guerre.. Un des handicaps moteurs subit par un patient lors de ces événements est notamment du à une amputation. Qui est l'ablation d'un membre. Elle peut être pathologique ou traumatique. Ce qui signifie qu'elle est soit du à une maladie ou à un traumatisme.

L'amputation.

L'amputation est l'un des premiers actes chirurgicaux pratiqué au cours du temps. En effet nous avons retrouver des textes nous exposant sont utilisation dès l'Antiquité. Mais nous n'avons d'écrits réellement précis qu'à partir du Moyen-Age. A cet époque, le médecin et plusieurs hommes immobilisés solidement le patient à qui il coupait la chaire avec un couteau à amputer, ce qui engendrer une forte hémorragie. Dans la plupart des cas, pour stopper celle ci on brûlait alors au fer rouge. On pouvait aussi utiliser de l'arsenic mais cela se faisait rarement. Puis on finissait par couper l'os avec une scie. Cette technique est heureusement pratiquer de manière différentes aujourd'hui.

image



Maintenant, pour le bien-être du patient, on ampute sous anesthésie générale. Le chirurgien coupe le membre, utilise la peau et les muscles pour recouvrir ce qui vient d'être coupé et former le moignon. Plus le chirurgien épaissit cette masse, plus se sera agréable pour le patient. Car c'est à cet endroit que sera posé une prothèse et où la personne devra s'appuyer. Ensuite, on applique des bandages sur ces moignons ayant pour but de facilité la cicatrisation du moignon. Il faudra les changer ainsi que les désinfecter régulièrement.

Handicap généré par une pathologie.


 

Il existe de nombreuses maladies pouvant entraîner un handicap moteur. Nous allons alors traiter le cas de trois d'entre elles qui sont des maladies neuro-dégénératrices, c'est à dire des maladies qui sont du à un dysfonctionnement métabolique au sein du tissu nerveux. Qui entraîne donc la mort des neurones et la destruction du système nerveux. Ces maladies sont Parkinson, la maladie d'Huntington et la Sclérose en Plaque. A elles trois, elles touchent environ 5,3 millions de personnes en France. ( 4 millions de personnes atteintes de parkinson, 1,3 million de patients atteints de la sclérose en plaque et 6000 malades de la maladie d'huntington)


 

Huntington



Quant à la maladie d'Huntington elle touche beaucoup moins de personne en France que les deux autres maladies, on ne compte que 6000 patients. Cette maladie compte trois types de symptômes : moteurs, (mouvements irrépressibles, troubles de l'équilibre, troubles de l'élocution ou de la déglutition) cognitifs, (troubles de la mémoire, difficulté à gérer des taches multiples, à utiliser des connaissances déjà acquises..) et psychiatriques (anxiété, dépression, désinhibition, agressivité...). C'est une maladie qui est héréditaire. Elle a une transmission qui est autosomique dominante, ce qui signifie que l'allèle mutée est présent sur un chromosome non sexuel et dont la présence d'un seul allèle est nécessaire pour exprimer la maladie. Cela indique donc qu'il n'existe pas de porteur sain et que si l'on est atteint, le risque pour nous enfants est d'1/2 de contracter la maladie. Dans le sens inverse, si l'un de nos parents à la maladie, nous avons ½ de la développer. De plus, le gène est à pénétrance complète ce qui veut dire que si l'on possède le gène, la maladie va obligatoirement se déclarer au cours de notre vie. Ce gène est le gène « HD », il a été isolé en 1993.

 

En effet, ce gène à une répétition trop élevée de trois acides nucléiques ( Cytosine – Adénine – Guanine ) alors appelé triplet CAG. En temps normal, ce triplet n'sest censé se répéter qu'une vingtaine de fois. Alors que sur ce gène, il se répète plus de 40 fois. Le nombre de répétition est important, puisque quand le nombre dépasse plus de 60 fois, on sait que la maladie va se déclarer plus précocement. Lorsque qu'il ne dépasse pas les 55 fois, prévoir son arrivée devient impossible.


Ce gène est normalement censé produire une protéine appelée « huntingtine » , cependant, nous ne connaissons pas encore le rôle exacte qu'elle joue dans le cerveau. Lorsque la maladie est déclarée, elle s'attaque aux cellules nerveuses situées dans certaines zones du cerveau. Ce qui engendrent la destruction de neurotransmetteurs, des molécules chimiques qui assurent la transmission des messages d'une neurone à une autre.